Il était une fois un « Vendée blog », premier du nom, (plutôt bien) né à l’automne 2008 – hébergé alors par un « grand journal régional ». Il cartonna quatre mois durant, passa l’hiver, mais ne vécut pas franchement au-delà. Et quiconque prétendant qu’on peut tout (re)trouver sur le Net se verra opposer un démenti cinglant !
Le ci-gît n’a – hélas pour moi – laissé aucune trace tangible aujourd’hui. Pfuitt... Disparu des écrans radars, à l’instar de Papa Tango Charly dans le triangle des Bermudes. Ou de Mike Plant, Nigel Burgess (1992) et Gerry Roufs (1996), qui ont payé de leur vie leur passion pour le Vendée Globe.
De l’eau, depuis, a coulé sur les ponts. Le journaliste est devenu pensionné. Il est resté passionné. Pour garder la main, il reprend la plume. Le temps d’un Vendée Globe, pour le partage, la complicité, l’échange. Anonyme sur la Grande Toile, il n’affiche que de très modestes ambitions. Comme reprendre dans ses filets les fidèles d’il y a huit ans (à défaut de « liker », merci d’activer le bouche-à-oreille ! Et de laisser vos commentaires) ; apporter un petit éclairage sur la course et les hommes ; amuser et divertir ; et embarquer à son bord ceux que le Vendée Globe, course exceptionnelle s’il en est, fait rêver. À chacun son défi.
À très vite sur les pontons de Port-Olona.
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